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Transatlantique Sud sur le Viking Jupiter (Octobre 2021)

Véritable plaisir d’embarquer à nouveau sur le Viking Jupiter, après sa découverte en août dernier, lors d’un tour de l’Islande. Le trajet est cette fois plus ambitieux : une transatlantique de Barcelone à Buenos Aires, durant 21 nuits. Le parcours sera finalement modifié plusieurs fois avec l’apparition du variant Omicron qui a contraint certains pays à durcir leurs conditions d’entrée.

La plus mauvaise surprise sera pour le port d’arrivée, Buenos Aires. L’Argentine imposa une quarantaine de 14 jours pour tout voyageur en provenance de l’Afrique. Or, nous avons fait escale à Mindelo, au Cap Vert, un peu plus tôt et il ne se sera passé que 12 jours depuis cette escale à notre date d’arrivée prévue. La croisière a donc été prolongée de 2 jours, afin d’atteindre ces 14 jours de quarantaine après notre passage sur le continent Africain. Bonne nouvelle pour certains, mauvais pour d’autre… pour respecter ma date de retour, Viking a organisé un désembarquement à la date prévue initialement, mais au port de Montevideo, Uruguay. J’étais préparé à ce genre de possibilité car partir en croisière en 2021, c’est aussi être conscient des règles sanitaires qui changent régulièrement.

Le port du masque à bord était obligatoire (sauf dans sa cabine, ou lorsqu’on était assis pour boire ou manger, ainsi qu’une certaine tolérance en extérieur, s’il n’y avait pas d’attroupement). Le navire est à nouveau limité en nombre de passagers, loin de sa pleine capacité. Les espaces publiques étaient donc calmes et la place ne manquait, particulièrement quand il s’agissait d’aller à la piscine ou au spa (au point d’y avoir plusieurs fois été seul !).

J’ai décrit un long et en large les espaces de ce bateau que je trouve parfaitement à mon goût dans mon article : le tour de l’Islande sur le Viking Jupiter.

Je trouve le confort à bord parfait pour voyager. Viking dit d’ailleurs de ses bateaux qu’ils sont fait pour se sentir comme à la maison. Plutôt réussi. J’apprécie tout particulièrement qu’à chaque endroit où l’on peut se poser se trouve pas loin un prise électrique ou une prise USB. C’est assez rare sur les bateaux des autres compagnies de croisière, et tellement pratique !

Et la période, un peu avant la fin de l’année, s’est prêtée aux décorations de Noël qui apportaient un coté encore un peu plus chaleureux dans le navire. L’ambiance fin d’année, sans les enfants qui courent partout (Viking limite ses croisières aux adultes !).

Plus spécifiquement lors de cette croisières transatlantique, j’ai particulier apprécié la partie astronomie. Avec un spécialiste de la question à bord, et l’aide du dôme, ce cinéma 360°, les passionnés comme moi ont pu avoir de nombreuses présentations théoriques et pratiques (la nuit tombée, sur le pont supérieur). Le fil rouge était le changement de ce qu’on pouvait observer en passant de l’hémisphère Nord à l’hémisphère Sud. Passionnant, vraiment.

Les escales, bien que modifiées par rapport au voyage initialement prévu (certaines ont été annulées, d’autres ajoutées), étaient toutes intéressantes et les sorties à terre étaient libres (avantage évident des « petits » navires et la vaccination obligatoire face aux mastodontes sans vaccination obligatoires dont les passagers ne pouvaient quitter leur bateau qu’en réservant une excursion). A Barcelone, alors que les passagers du Costa Smeralda se tassaient dans des bus, on pouvait aller se balader librement. De quoi profiter de l’escale « overnight » !

Quel plaisir de se promener dans Valencia, sous un soleil d’automne radieux…

Ou de redécouvrir Madère, comme si on était toujours en été (loin de Paris, déjà refroidie, en cette fin novembre). Un dépaysement total !

Suite de l’article, page suivante, à propos des restaurants et de la nourriture à bord…

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